Céline Dion manipulée: l’emprise de Pepe Muñoz sur la diva québécoise inquiète

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Il y a deux ans, Céline Dion présentait son nouveau meilleur ami, le danseur Pepe Munoz. Une relation d’amitié très forte, mais qui commence à inquiéter certains proches de la chanteuse. Ils dénoncent une très mauvaise influence de Pepe Munoz sur la diva québécoise.

Le cercle très restreint d’amis de Céline Dion est inquiet. Depuis plusieurs mois, ses proches craignent en effet que son « meilleur ami », le danseur espagnol Pepe Muñoz ait une mauvaise influence sur la chanteuse depuis le décès de son mari, René Angélil, en 2016.

« Pepe Muñoz est comme son petit garçon qui essaie vraiment de prendre la relève. Il l’isole et les gens le ressentent. Elle est amoureuse de ce gars et écoute ce qu’il lui dit. Les gens passent désormais par lui quand ils ont des questions pour Céline. Il a tout pris en charge. Les seules personnes autour d’elle désormais sont Pepe, sa coiffeuse et son styliste… » a déclaré une source au magazine Page Six, rapportée par Public.

Selon plusieurs sources, Pepe Munoz aurait fait virer Law Roach, le styliste derrière le relooking de Céline Dion, mais aussi plusieurs personnes de son staff. « C’est une source incroyable d’inspiration pour elle. Il l’inspire à prendre des risques. Ce n’est pas une mauvaise chose. […] C’est fou. Elle sait qu’il est gay et elle l’accepte. Elle avait besoin de quelqu’un proche d’elle et elle est tombée amoureuse. Il est devenu une sorte de René. »

Malgré ces déclarations anonymes, Céline Dion semble plus heureuse que jamais. En mai dernier, Céline Dion pose en couverture du magazine «ELLE» et se confie sur sa nouvelle vie : «Ma vie a commencé à 50 ans. Je me sens heureuse, je me sens belle et je me dis : « Je dois avoir fait quelque chose de bien pour que cela se produise » (…) À 51 ans, j’ai l’impression d’être à mon apogée ! (…) Je ne dis pas que je me fiche de ce que les gens pensent de moi, mais j’ai atteint un point dans ma vie où je peux me permettre de prendre mes propres décisions». Un discours bien différent des propos relatés par «Page Six».

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