Confidences:Une Nigériane de 16 ans ne peut passer un jour sans rapport s3xuel. Découvrez sa triste histoire.

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koumpeu.com–Une jeune nigériane de 16 ans a fait une confession à la fois pathétique et choquante. L’adolescente sous anonymat, a déclaré avoir des rapports sexuels chaque jour avec des hommes, et qu’elle ne peut s’en passer. Victime d’abus sexuels dès son bas âge, elle a raconté comment un adulte, qui était son voisin à Mile 12, État de Lagos, au sud-ouest du Nigeria, l’a initiée aux rapports s3xuels à l’âge de 7 ans et depuis, elle ne peut se priver de coucher avec les hommes chaque jour.

Elle a déclaré se rendre dans les quartiers populaires pour s’enticher d’inconnus tels que les commerçants, lorsqu’elle n’était pas en mesure de trouver dans son secteur, des hommes avec qui avoir des relations s3xuelles.

Son cas est devenu si grave qu’il a fallu l’envoyer au sein d’une ONG, une initiative communautaire de soutien de la santé et d’autonomisation, COHSAEI, qui a relevé le défi de la réhabiliter.

La petite fille a dit qu’elle avait été attirée par un homme qu’elle appelait Baba qui vivait avec sa tante dans le même complexe.

Elle explique que l’homme (Baba) l’appelait généralement à son appartement chaque fois que sa femme et sa tante n’étaient pas là et mettait son doigt dans sa partie privée.

La jeune fille explique qu’avec le temps, il a commencé à avoir de vrais rapports s3xuels avec elle.

Elle affirme aussi que lorsque l’homme qui l’a initiée a déménagé, elle a rencontré d’autres hommes dans la région sans que sa tante ne le sache, en ajoutant qu’elle est devenue accro au S3xe, et qu’elle ne peut plus s’en passer.

« Quand je désire du s3xe et que je ne vois personne pour le faire dans mon quartier, je vais sous le pont et je prie les vendeurs de le faire avec moi », a-t-elle déclaré.

Sa situation a été découverte quand elle a avoué à son enseignant ce qu’elle traversait, après que le professeur ait remarqué un comportement anormal chez elle. L’enseignant a contacté sa tante qui à son tour a contacté une ONG pour obtenir de l’aide.

La coordonnatrice du programme de l’ONG, Mme Priscilla Ingbia, a noté que son cas était très pathétique en raison de son âge. Elle a déclaré que son groupe a relevé le défi de la réhabiliter parce qu’il était clair que si rien n’était fait d’urgence, son avenir serait en danger.

Mme Priscilla Ingbia a déclaré que son organisation a commencé son processus de réhabilitation en effectuant une série de tests pour déterminer ses problèmes de santé. Elle a aussi souligné la nécessité urgente de la faire quitter de son environnement actuel, et de créer une nouvelle vie pour elle.

Mais, elle a déclaré que son organisation n’a pas été en mesure de le faire pour le moment, en raison du coût financier que cela nécessite.

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