Francophonie: la rwandaise Louise MUSHIKIWABO succède à Michaëlle Jean
Sans surprise, la Rwandaise Louise Mushikiwabo prend la tête de la francophonie, ce vendredi 12 octobre, au second et dernier jour du 17 sommet de l’organisation qui se tient à Erevan en Arménie. La ministre rwandaise des Affaires étrangères succède à la sortante canadienne Michaëlle Jean comme secrétaire générale de l’Organisation internationale de la Francophonie (OIF).
Mais l’actuelle ex-secrétaire générale, la Canadienne Michaëlle Jean, aimerait garder son poste, d’autant que la nomination de la ministre des Affaires étrangères de Paul Kagame a suscité les critiques de nombreux commentateurs. Mais hélas !
Les Chefs d’État et de Gouvernement des pays membres de l’OIF ont élu par acclamation Madame Louise Mushikiwabo comme la nouvelle SG de la #Francophonie. Celle-ci a été présentée par le Président Kagame comme la candidate du #Rwanda et de l’#Afrique #ElleAimeOIF #SommetEVN2018pic.twitter.com/Yzy8GjqW4p
— LMFrancophonie (@LMFrancophonie) October 12, 2018
La ministre rwandaise des Affaires étrangères, Louise Mushikiwabo, a été désignée secrétaire générale de l’Organisation internationale de la#Francophonie (OIF) pour un mandat de quatre ans par les chefs d’État et de gouvernement réunis lors du sommet d’#Erevan. #SommetEVN18pic.twitter.com/ZHtm0pvfvv
— OEIL D’AFRIQUE (@oeildafrique1) October 12, 2018
La ministre rwandaise des Affaires étrangères, Louise Mushikiwabo, a été désignée secrétaire générale de l’Organisation internationale de la#SommetEVN18 passage de relais entre deux femmes secrétaires générales de l’OIF @TERRIENNESTV5 pic.twitter.com/PIeTdeUday
— isabelle mourgere (@IMourgere) October 12, 2018
C’est par consensus et par acclamation que la chef de la diplomatie rwandaise, Louise Mushikiwabo, a été élue, ce vendredi 12 octobre, comme nouvelle secrétaire générale de l’OIF. Au second et dernier jour du 17e Sommet de l’organisation, les chefs d’Etats des pays membres ont plébiscité, à l’issue de leur huis-clos, celle qui était déjà favorite pour succéder à la secrétaire générale sortante, la canadienne Michaelle Jean, qui s’est pourtant accrochée jusqu’au bout pour un second mandat.
