Selon le quotidien AS, c’est un climat de tension qui règne entre Cristiano Ronaldo, et le président du Réal Madrid, Florentino Pérez. Cette tension s’est justifiée d’abord par le refus d’organiser une cérémonie d’aurevoir en l’honneur du quintuple ballon d’Or.

AS indique, par ailleurs, que Florentino Pérez aurait formellement interdit à ses joueurs d’évoquer le nom de Cristiano Ronaldo au vestiaire. Compte tenu de tout ceci, le quotidien AS explique l’un des suspects dans le déclenchement de l’affaire de viol concernant Cristiano Ronaldo: et c’est bien le président Florentino Pérez.

De son côté, le journal ‘Correio da Manha’ révèle les dessous de l’accord qu’il y a eu  entre Kathryn Mayorga et Cristiano Ronaldo après plusieurs pressions du Real Madrid. La revue ‘Der Spiegel’ a publié un extrait du supposé accord de confidentialité qu’il y aurait eu en 2010 entre la femme et le Portugais concernant  la présumée agression sexuelle. La même source indique que Cristiano Ronaldo avait refusé de conclure cet accord, estimant qu’il était innocent. Mais il aurait reçu des pressions du Real Madrid pour signer ce document.

Aujourd’hui le président du Réal Madrid est soupçonné d’être à la manette pour déstabiliser le joueur. Pour sa part, Cristiano Ronaldo a démenti toutes ces accusations, expliquant que le rapport sexuel était consenti.

”Je démens formellement ces accusations contre moi. Le viol est un délit abominable qui va à l’encontre de tout ce que je suis et tout ce en quoi je crois.” Son avocat ajoute: ” c’était une relation complètement consentie”.

La question que certains observateurs se posent est celle de savoir, pourquoi cette affaire est révélée au grand public seulement maintenant? Les avocats de Cristiano entendent utiliser comme défense les supposées pressions du Real Madrid qui aurait poussé le Portugais à signer ce document avec Mayorga.

En réaction, le président du Real Madrid a décidé de porter plainte contre le quotidien portugais Correio da Manhã qui a mis en avant des pressions du club madrilène pour justifier un accord de confidentialité avec son accusatrice.